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La filière est soulagée par la pause des taxes douanières américaines pendant trois mois, mais les incertitudes sur les conséquences de la guerre commerciale menée par les Etats-Unis demeurent.
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Le couperet était tombé aux premières lueurs du mercredi 9 avril. Les vins et spiritueux français étaient désormais taxés à hauteur de 20 % à leur entrée sur le territoire des Etats-Unis. Sauf que, quelques heures plus tard, le président américain, Donald Trump, dans une volte-face dont il est coutumier, a relâché la pression. Déclarant mettre sur pause la hausse des droits de douane prévue ce jour-là, pour une durée annoncée de quatre-vingt-dix jours, les produits européens ne se voient plus taxer qu’à hauteur de 10 % pendant cette période.
Un soulagement pour la filière. D’autant qu’un temps le président américain avait brandi la menace d’asséner des droits de douane de 200 % sur les alcools européens. Cette perspective d’une quasi-fermeture du premier marché d’exportation des vins et cognac hexagonaux, à la suite des attaques proférées mi-mars par Donald Trump, avait entraîné une mobilisation des acteurs. Il est vrai que l’enjeu est d’importance.
Les ventes aux Etats-Unis, premier marché des vins et spiritueux tricolores, ont atteint 3,8 milliards d’euros en 2024, dont près de 800 millions d’euros pour le champagne. Soit le quart des exportations d’alcool français, et quasiment la moitié des importations américaines de vins et spiritueux européens.
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