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Dans l’Antiquité, fausses pièces et produits de contrebande accompagnent déjà le développement des échanges commerciaux.

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Après une perquisition, alors que de fausses cartes alimentaires ont été découvertes, à Paris, le 20 octobre 1946.

Si une pénalisation plus sévère des contrefacteurs est aujourd’hui en question, au Moyen Age, le débat a été tranché. Pour une infraction mineure, le criminel s’en sortait avec une amputation. Dans les cas les plus graves, il pouvait être frappé par une double peine : il était bouilli et pendu. Des gravures du Moyen Age représentant un gros chaudron et un homme supplicié à l’intérieur illustrent une redoutable volonté de dissuader les audacieux de ce qui était considéré comme une trahison envers le roi ou le seigneur. Ces crimes de lèse-majesté portaient sur des contrefaçons de monnaie, dont les plus anciennes traces remontent à l’Antiquité.

A l’époque, fausses pièces de monnaie et produits de contrebande accompagnent déjà le développement des échanges commerciaux. En − 700, on retrouve de premières pièces d’argent trompeuses en circulation. La technique la plus courante consistait à remplacer le centre de la pièce par du cuivre recouvert d’une pellicule d’argent. La monnaie était gravée d’un motif plus vrai que nature : chouette d’Athènes, poulain de Corinthe, tortue d’Egine.

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