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Si procéder à des achats en cryptoactifs est technologiquement possible, la pratique reste encore peu développée.
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A Toulouse, il est désormais possible de payer son ticket de bus ou de métro en cryptomonnaie. Depuis le 17 mars, Tisséo, le réseau de transports en commun de la plus grande ville d’Occitanie, a officialisé le fait que ses usagers puissent régler l’achat de certains déplacements par le biais de cryptoactifs. Une première pour une grande ville européenne, qui, deux mois après le lancement de cette opération, indique n’avoir enregistré que « huit transactions » de ce type.
Pourtant, l’acceptation des cryptomonnaies pour régler ses achats progresse. Alors que 10 % de la population nationale serait détentrice de cryptoactifs, selon une enquête publiée le 11 avril par l’Association pour le développement des actifs numériques, le cabinet de conseil KPMG et l’institut de sondage Ipsos, les annonces relatives au développement du paiement en cryptomonnaie sont nombreuses.
A l’image du groupe Printemps (vingt grands magasins en France) qui accepte les règlements en bitcoins, ethereums et autres devises cryptographiques depuis novembre 2024. « L’attrait est réel, assure Emmanuel Suissa, directeur des partenariats au sein du Printemps, qui reste discret sur les résultats du dispositif. Bien qu’il soit encore récent, les signaux sont très encourageants : nous observons une croissance régulière à deux chiffres. »
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