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Microsoft a jeté, mercredi 19 février, un pavé dans la mare de la communauté scientifique du calcul quantique. L’entreprise américaine a annoncé être en mesure de commercialiser un ordinateur quantique basé sur des qubits dits « topologiques » dans quelques années, contre quelques décennies dans ses prévisions précédentes. Le même jour, la revue scientifique Nature publiait un article des chercheurs de son laboratoire de Santa Barbara (Californie) sur le même sujet, mais aux conclusions plus prudentes que celles qu’en tirait leur employeur.
En faisant une telle annonce à deux voix, Microsoft n’a pas simplifié le débat entre les chercheurs convaincus du bien-fondé de la voie technologique originale qu’il a choisie dans cette course à l’ordinateur quantique et le camp des sceptiques. Car le terrain est miné depuis la rétractation, en 2021, d’un précédent article d’une autre équipe de chercheurs du groupe américain qui avait fait grand bruit dans le milieu.
Que sont ces qubits topologiques sur lesquels Microsoft travaille depuis près de vingt ans ? Au départ est le qubit, qui est au calcul quantique ce que le bit est à l’informatique, à un détail près : au lieu de prendre les valeurs 0 ou 1, il peut prendre les deux à la fois. Gros avantage, cela démultiplie les possibilités de calculs. Gros défaut, ces qubits, difficiles à créer – ils peuvent être constitués d’atomes ou de photons à deux états –, sont fragiles, influençables par leur environnement et facteurs d’erreurs.
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