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Une respiration insufflée par la hausse de la Bourse japonaise, sur fond de négociations entre le Japon et les Etats-Unis sur les droits de douane.
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Marc Ferracci, le ministre de l’industrie et de l’énergie français, va consulter mardi « l’ensemble des filières et les représentants à la fois des employeurs et des salariés » français sur la réponse à apporter aux droits de douane imposés par Donald Trump.
Le président Emmanuel Macron avait appelé la semaine dernière les industriels français à suspendre leurs investissements aux Etats-Unis, dans le cadre d’une riposte européenne qu’il souhaite « proportionnée » afin de laisser sa chance à la négociation avec les Américains. L’offensive protectionniste des Etats-Unis, qui entre en vigueur le 9 avril, prévoit une taxe de 20 % sur les produits européens.
La hausse des tarifs douaniers imposée par le président américain n’est « pas ce que l’on fait à un ami », a déploré mardi le premier ministre de Singapour, qui a été frappé de droits de douane de 10 % malgré un accord de libre-échange (ALE) avec les Etats-Unis.
« Nous sommes très déçus par la décision américaine, surtout compte tenu de l’amitié profonde et de longue date entre nos deux pays », a déclaré Lawrence Wong dans un discours au Parlement, ajoutant que la cité-Etat réviserait probablement à la baisse ses prévisions de croissance pour 2025.
Même si le taux imposé à Singapour est bien inférieur à ceux appliqués à d’autres pays de la région, M. Wong a estimé que la cité-Etat, fortement dépendante du commerce, serait particulièrement touchée par un ralentissement de l’économie mondiale. « Singapour peut, ou non, entrer en récession cette année, mais je n’ai aucun doute sur le fait que notre croissance sera fortement impactée », a encore prévenu M. Wong.
L’accord de libre-échange entre des pays du Mercosur et l’Union européenne « ajouterait des désordres (…) aux désordres provoqués par les taxes douanières de Donald Trump » et n’est « pas un remède », a déclaré mardi la ministre de l’agriculture française, Annie Genevard. « Le Mercosur était mauvais hier, il l’est toujours à mes yeux aujourd’hui pour des filières agricoles et agroalimentaires capitales pour notre pays », a-t-elle déclaré sur Radio J, interrogée sur la possibilité que l’opposition de la France à cet accord soit fragilisée au sein de l’Union européenne (UE).
L’accord permettrait à l’UE, déjà premier partenaire commercial du Mercosur, d’exporter plus facilement ses voitures, ses machines et ses produits pharmaceutiques. De l’autre côté, il permettrait aux pays sud-américains concernés d’écouler vers l’Europe de la viande, du sucre, du riz, du miel, du soja, etc.
La ministre a toutefois qualifié la recherche par l’UE d’autres accords, en remplacement de ceux avec les Etats-Unis, de « bonne politique ». Elle a réuni lundi les filières agricoles concernées par les droits de douane américains (vins et spiritueux, produits laitiers et « épicerie ») et a repris leur demande d’une « riposte (…) mais avec le souhait in fine d’une désescalade ». « L’agriculture ne doit pas être la variable d’ajustement de cette riposte. Elle ne doit pas être pénalisée plus qu’elle ne peut l’absorber », a-t-elle défendu.
Les Bourses européennes tentent de rebondir à l’ouverture mardi, une respiration après trois séances noires sur les marchés, insufflée par la hausse de la Bourse japonaise, sur fond de négociations entre le Japon et les Etats-Unis sur les droits de douane.
Après avoir affiché sa pire séance depuis mars 2022, en dégringolant de 4,78 %, la Bourse de Paris a ouvert en hausse mardi, à + 1,41 %. Dans les premiers échanges, la Bourse de Londres prenait 1,27 %, Francfort 0,86 %, et Milan 1,73 %.
La Bourse de Tokyo a fermé en rebond de plus de 6 %, mardi, après sa dégringolade de 8 % la veille, après que le premier ministre japonais, Shigeru Ishiba, a annoncé s’être entendu par téléphone avec Donald Trump pour poursuivre les discussions sur les droits de douane américains, qu’il espère faire modifier.
L’indice vedette, le Nikkei, a terminé en hausse de 6,02 % à 33 012,58 points, tandis que l’indice élargi japonais Topix a grimpé de 6,26 % à 2 432,02. A Séoul, l’indice Kospi a gagné 0,26 %. La Bourse de Sydney a progressé de 2,27 %.
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« Personne ne sort gagnant d’une guerre commerciale ou douanière et le protectionnisme ne mène à rien. Les Chinois ne créent pas de problèmes mais n’en ont pas peur », a déclaré Lin Jian, un porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois, alors que Donald Trump a annoncé qu’il comptait imposer de nouveaux droits de douane supplémentaires de 50 % aux produits chinois.
« La pression, les menaces et le chantage ne sont pas la bonne façon de traiter avec la Chine », a ajouté le porte-parole lors d’un point presse régulier. « Si les Etats-Unis veulent vraiment dialoguer, alors ils devraient faire preuve d’une attitude basée sur l’égalité, le respect et la réciprocité, a précisé Lin Jian. Si les Etats-Unis ignorent les intérêts des deux pays et de la communauté internationale et persistent à lancer une guerre des droits de douane ou une guerre commerciale, la Chine les combattra jusqu’au bout. »
L’industrie chinoise a d’abord prospéré grâce à sa main-d’œuvre à bas coût, mais elle domine aussi nombre de secteurs par sa réactivité, sa capacité d’innovation et les aides publiques dont elle bénéficie.
Un rebond des principales Bourses européennes est attendu mardi, après quatre séances de baisse liées aux droits de douane imposées par le président américain, Donald Trump. Selon les premières indications disponibles, à une heure de l’ouverture, le CAC 40 parisien, qui a perdu lundi 4,78 %, devrait rebondir de 2,30 % à l’ouverture. Le Dax, à Francfort, pourrait avancer de 1,93 %, tandis que le FTSE 100 à Londres devrait prendre 2,29 %.
Le Stoxx 600, tombé lundi au plus bas depuis seize mois, est attendu en hausse de 2,05 %, ce qui mettrait fin à quatre séances d’affilée dans le rouge. Le principal indice paneuropéen reste cependant proche d’un marché baissier (« bear market ») en ayant perdu environ 16 % de sa valeur par rapport à son plus haut historique, atteint le 3 mars.
Le rebond attendu devrait toutefois être fragile, la demande vers les actifs refuge comme l’or étant en hausse, tandis que l’indice de volatilité VIX de Wall Street, surnommé indice de la peur, reste élevé, autour de 47 points.
La Banque populaire de Chine a fixé son taux de change de référence à 7,2038 yuans pour un dollar mardi, soit le taux le plus faible depuis septembre 2023. C’est la première fois depuis l’élection du président Donald Trump en novembre que le taux de référence a franchi le taux très surveillé de 7,20 pour un dollar, dans un contexte d’escalade de la guerre commerciale avec les Etats-Unis.
Une dévaluation de sa monnaie pourrait permettre à Pékin d’accroître l’attrait de ses exportations, un moteur-clé de croissance, actuellement sous une pression accrue en raison des tensions commerciales avec les Etats-Unis. Toutefois, la décision de laisser le yuan chuter brutalement serait difficile à prendre pour la Chine, car elle pourrait contrarier les Etats-Unis et assombrir les perspectives d’éventuelles négociations commerciales, et pourrait déstabiliser le système financier chinois.
Le gouvernement vietnamien, qui cherche à obtenir un report de l’application des droits de douane colossaux annoncés par Washington, a assuré vouloir acheter davantage de produits américains, y compris du matériel de sécurité et de défense.
Le premier ministre, Pham Minh Chinh, a fait savoir que le Vietnam allait « approcher et négocier avec la partie américaine pour parvenir à un accord bilatéral, visant une balance commerciale durable », selon une déclaration publiée sur le portail d’informations du gouvernement tard lundi soir.
Le pays va continuer « à acheter davantage de produits américains qui sont robustes et dont le Vietnam a besoin, notamment du matériel lié à la sécurité et à la défense, et à promouvoir une livraison précoce des contrats commerciaux aéronautiques », a-t-il ajouté.
Le Vietnam se voit imposer par les Etats-Unis des nouveaux droits de douane de 46 %, censés entrer en vigueur mercredi. To Lam, secrétaire général du Parti communiste vietnamien et de facto plus haut dirigeant vietnamien, a demandé à M. Trump un délai d’« au moins quarante-cinq jours » pour leur application, selon la copie d’une lettre officielle consultée par l’Agence France-Presse.
L’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean), au cœur du cyclone économique déclenché par Donald Trump, enverra une délégation à Washington pour discuter des droits de douane imposés par le président américain à la région, a déclaré mardi le premier ministre malaisien, Anwar Ibrahim.
« Notre marge de manœuvre pour revoir l’intention sous-jacente est peut-être limitée, mais il est encore possible d’ajuster la mise en œuvre de la politique », a déclaré M. Ibrahim lors de la conférence de l’Asean sur l’investissement 2025, à Kuala Lumpur, mardi matin. « Le système commercial mondial est soumis à de fortes tensions, plus que jamais dans l’histoire récente », a-t-il ajouté.
La Malaisie, qui assure cette année la présidence tournante de l’Asean (qui compte dix membres) a promis ce week-end de diriger les efforts pour coordonner une réponse régionale.
Contrairement aux marchés financiers japonais et, dans une moindre mesure, coréens et chinois, qui ont ouvert à la hausse, plusieurs Bourses d’Asie du Sud-Est chutent mardi matin.
La Bourse de Djakarta, en Indonésie, a plongé de plus de 9 % mardi à l’ouverture et les cotations ont été suspendues, après le long congé de fin du ramadan depuis le 28 mars, et dans un contexte d’inquiétude face à la hausse des droits de douane américains.
La Bourse vietnamienne d’Ho Chi Minh-Ville a elle aussi ouvert mardi en nette baisse, de plus de 3,5 %, après un jour férié sur les marchés, subissant à retardement les effets des lourds droits de douane imposés au monde par le président américain, Donald Trump. Le Vietnam, parmi les pays les plus durement frappés, est soumis à des taxes de 46 % sur ses produits exportés aux Etats-Unis.
Enfin, la Bourse de Thaïlande a dégringolé de plus de 4 %, également après un jour férié. Le royaume est soumis à des droits de douane de 36 %. La vente à découvert a été suspendue pour la plupart des titres jusqu’au 11 avril.
La Banque populaire chinoise s’est engagée mardi à soutenir le principal fonds d’Etat chinois, Central Huijin Investment, pour stabiliser les marchés en pleine guerre commerciale lancée par les Etats-Unis.
La banque centrale « soutient fermement Huijin Investment (…) dans l’augmentation de ses participations dans des fonds indiciels boursiers, et [lui] fournira un soutien suffisant en matière [de prêts] lorsque cela sera nécessaire, en maintenant résolument le bon fonctionnement du marché des capitaux », a-t-elle affirmé. L’institution a promis de fournir au fonds « un soutien suffisant en matière de réaffectation des prêts lorsque cela est nécessaire, pour maintenir résolument le bon fonctionnement des marchés financiers ».
La firme Central Huijin Investment a réagi à la chute lundi des places boursières en promettant d’aider à garantir des « opérations stables » sur le marché avec un programme de rachat d’actions. Dans un communiqué, la société a ajouté qu’elle « a une fois de plus augmenté ses participations dans les fonds négociés en Bourse et continuera d’augmenter ses participations à l’avenir ».
Vers 2 h 30 (heure de Paris), l’indice Hang Seng de la Bourse de Hongkong montait de 1,66 %, tandis que l’indice composite de la Bourse de Shanghaï reculait de 0,07 %.
La Bourse de Taïwan, elle, reculait de 3,28 %. L’action du géant taïwanais de la tech Foxconn était dans le rouge, à près de − 9 %, alors que le fabricant de puces TSMC se délestait de 2 %.
A la Bourse de Séoul, l’indice Kospi gagnait 1,72 % mardi une demi-heure après l’ouverture, pendant que la Bourse de Sydney, pour sa part, grimpait de 1,21 %.
La Bourse de Tokyo gagnait 6,13 % mardi vers 1 h 40 (heure de Paris) − reprenant son souffle après sa dégringolade de 8 % la veille face à l’offensive douanière américaine −, dopée par la reprise des valeurs tech, et rassurée par la perspective de négociations entre le Japon et les Etats-Unis.
Le premier ministre japonais, Shigeru Ishiba, a annoncé lundi s’être entendu par téléphone avec Donald Trump pour poursuivre les discussions sur les droits de douane américains, qu’il espère faire modifier. Le ministre des finances américain, Scott Bessent, a même dit à la chaîne de télévision Fox News que « le Japon aurait la priorité » dans les pourparlers à venir avec les partenaires commerciaux des Etats-Unis, selon des propos rapportés par Bloomberg.
Par ailleurs, « la stabilisation de l’action [du géant américain des semi-conducteurs] Nvidia » et d’autres titres américains liés aux puces « déclenchent des rachats d’actions japonaises à forte valeur ajoutée » dans le secteur technologique, complètent les analystes du courtier Monex Securities.
De son côté, Nippon Steel a bondi de près de 10 % à Tokyo, après que le président Donald Trump a lancé un nouvel examen du projet de l’aciériste japonais de racheter son rival américain U.S. Steel. L’action Nippon Steel avait été plombée ces derniers mois par l’opposition de l’ex-président américain Joe Biden à son projet de rachat. Selon plusieurs médias, le revirement de M. Trump ravive l’espoir d’un feu vert au mariage.
Le ministère du commerce chinois a promis mardi de ne pas céder au « chantage », après la menace de Donald Trump d’imposer des taxes additionnelles à hauteur de 50 % sur les importations de la deuxième économie du monde.
« La menace américaine d’escalade des droits de douane à l’encontre de la Chine est une erreur s’ajoutant à une erreur (…) La Chine n’acceptera jamais cela. Si les Etats-Unis insistent pour suivre leur propre voie, la Chine les combattra jusqu’au bout », a déclaré un porte-parole du ministère.
La Chine exhorte au « dialogue » pour résoudre ce conflit commercial, mais promet des « contre-mesures » en cas de nouveaux droits de douane américains. La banque centrale chinoise promet par ailleurs de soutenir le principal fonds souverain pour stabiliser les marchés.
Donald Trump a jugé lundi que la proposition faite par l’Union européenne d’une exemption de droits de douane totale et réciproque pour les produits industriels, dont les voitures, n’était pas suffisante pour lever les taxes douanières américaines.
« Non, ce n’est pas suffisant », a-t-il dit, interrogé sur cette proposition annoncée lundi par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pendant un échange avec la presse à la Maison Blanche. « L’Union européenne s’est très, très mal conduite avec nous », a ajouté le président américain, qui a annoncé la semaine dernière une offensive protectionniste tous azimuts, dont une taxe de 20 % sur les produits européens, devant entrer en vigueur le 9 avril.
Il a assuré que le déficit commercial accusé par les Etats-Unis avec l’UE allait « disparaître rapidement » grâce à une augmentation des achats d’énergie américaine par les pays européens. « Il faut qu’ils achètent et qu’ils s’engagent à acheter un montant équivalent [à ce déficit commercial] en énergie », a encore dit Donald Trump.
« Nous avons proposé des droits de douane nuls pour les produits industriels. (…) L’Europe est toujours prête à conclure un bon accord » avec les Etats-Unis, avait déclaré Ursula von der Leyen lors d’une conférence de presse à Bruxelles. « Nous sommes également prêts à répondre par des contre-mesures et à défendre nos intérêts » face à l’offensive commerciale de Donald Trump, a toutefois prévenu la cheffe de l’exécutif européen.
« Nous avons dit clairement à plusieurs reprises que faire pression ou menacer la Chine n’était pas la bonne manière de traiter avec nous. La Chine préservera avec fermeté ses droits et intérêts légitimes », a déclaré à l’Agence France-Presse le porte-parole de l’ambassade de Chine aux Etats-Unis, Liu Pengyu.
Et ce, après que Donald Trump a promis d’augmenter encore les droits de douane sur les produits chinois si Pékin continue de vouloir riposter. « Si la Chine ne retire pas son augmentation de 34 % [de droits de douane sur les produits américains] (…) d’ici à demain [mardi] 8 avril, les Etats-Unis imposeront des droits de douane ADDITIONNELS de 50 % sur la Chine, à partir du 9 avril », a affirmé le président américain sur sa plateforme Truth Social, dans la journée.
« La probabilité d’une récession aux Etats-Unis a considérablement augmenté. Cela aura des effets importants sur l’économie canadienne, il sera très difficile pour nous d’éviter cela », a déclaré lundi le premier ministre canadien, Mark Carney, lors d’un événement de campagne pour les élections législatives, sur la Côte ouest canadienne.
Pour M. Carney, qui a dirigé la Banque du Canada et celle d’Angleterre, la chute des marchés boursiers mondiaux n’est pas une surprise : « Ils réagissent à ce que nous avons annoncé, à savoir que ces droits de douane sont fondamentalement préjudiciables à l’économie américaine et aussi à l’économie mondiale. »
Le Canada, qui est l’un des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis, a été globalement épargné par les dernières annonces américaines, mais est déjà visé depuis quelque temps par des tarifs douaniers sur l’acier et sur l’aluminium, ainsi que sur les automobiles.
Dans ce contexte, M. Carney a répété qu’il voulait accélérer les investissements au Canada en éliminant notamment les obstacles au commerce entre les provinces canadiennes et en facilitant la mobilité de la main-d’œuvre : « Nous ne pouvons pas contrôler les Etats-Unis, nous ne pouvons pas contrôler les décisions du président Trump, mais nous pouvons contrôler ce que nous faisons ici dans ce pays. »
La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé lundi, à l’issue d’une séance en dents de scie ; un recul toutefois moins prononcé que celui des autres places boursières toujours lestées par le choc des droits de douane de Donald Trump.
Le Dow Jones a perdu 0,91 %, l’indice Nasdaq a grappillé 0,10 %, et l’indice élargi S&P 500 a lâché 0,23 %.
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