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La société prévoit de réduire de moitié ses effectifs au cours du mois d’avril.

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Le président de la République, François Hollande (à gauche), et Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, à l’exposition sur le design industriel et la technologie française à l’Elysée, à Paris, le 12 septembre 2013. Dans les bras du président, un robot Nao, de la société Aldebaran.

C’est l’un des symboles de la réussite de la « start-up nation » française. Pourtant Aldebaran, dont on voyait les robots Nao et Pepper arpenter les plus grands salons mondiaux de la tech, n’est pas loin du précipice. Plus proches d’un Wall-E que d’un humanoïde à l’image d’un Robocop, ces robots, capables d’interagir avec des humains, de les guider dans un lieu donné, ont pourtant séduit un vaste public.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés La robotique humanoïde prend son essor

Un paradoxe pour cette société française fondée en 2005, alors même que la robotique humanoïde s’annonce prometteuse. Lors de sa dernière conférence, le champion de l’intelligence artificielle, Nvidia, a présenté son premier robot humanoïde, et compte s’engager massivement dans ce secteur, dont Citigroup estime qu’il pourrait peser 7 000 milliards de dollars (6 477 milliards d’euros) d’ici à 2050. On apprenait lundi 14 avril que le français Hugging Face se lançait dans l’IA robotique avec l’acquisition de la start-up bordelaise Pollen Robotics.

Le rachat d’Aldebaran en 2012 par le grand groupe japonais SoftBank, qui en fit alors son centre de robotique sur le continent européen, semblait lui promettre un bel avenir. C’est à cette époque que sort le robot Pepper, auquel succédera en 2022 le robot Plato, destiné essentiellement à la restauration, pour servir et débarrasser les clients.

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