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Ces films à petit budget, qui séduisent un public d’aficionados, ne représentent que 1,5 % des entrées en salle. Ils peinent souvent à boucler leur financement.

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Le médecin palestinien Izzeldin Abuelaish participe à une conférence dans le cadre du festival international du film documentaire Fipadoc, à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), le 28 janvier 2025.

Les énormes vagues comme le vent particulièrement violent qui a soufflé sur Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) pendant le festival international du film documentaire Fipadoc, qui fermera ses portes samedi 1er février, n’ont en rien modifié le cours des choses. Les producteurs, les distributeurs et les réalisateurs qui misent sur les documentaires diffusés dans les salles de cinéma sont habitués au gros temps. Ce petit marché se singularise par une litanie de handicaps : une complexité à trouver son public et une difficulté à se financer, puisque les télévisions rechignent à y investir.

Selon Charles Hembert, membre du comité de sélection du Fipadoc, 115 documentaires français et étrangers ont été diffusés dans les salles françaises en 2024 – autant qu’en 2023. Il s’agit d’un foisonnement exceptionnel par rapport aux autres pays, mais le nombre d’entrées annuel devrait s’établir à 2,84 millions. Soit une part minuscule de 1,5 % du total des entrées en salle. Même si ce résultat surpasse largement la fréquentation de 2023 (1,5 million). Ce public d’aficionados, qui s’est pressé aux projections à Biarritz, reste, selon le Centre national du cinéma (CNC), à la fois plus âgé et de catégories socioprofessionnelles plus élevées que la moyenne.

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