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Lors d’une conférence de presse mardi matin, le premier ministre n’a pas détaillé la nature de l’effort budgétaire de 40 milliards d’euros annoncé dimanche par le ministre de l’économie, Eric Lombard.
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François Bayrou, agrégé de lettres, n’ignore en rien le pouvoir des mots. « Montagne de difficulté », « situation intenable », « cercle vicieux », « piège dangereux »… En recourant à un lexique catastrophiste, mardi 15 avril, lors d’une conférence sur les finances publiques organisée à l’issue d’un « comité d’alerte du budget », le premier ministre a voulu capter l’attention d’une opinion publique défiante à son égard. « Rien ne serait possible sans le soutien [des Français]. Et leur soutien ne viendra que de leur pleine information », a-t-il estimé devant les membres de son gouvernement, les représentants syndicaux et une poignée de parlementaires réunis rue de Ségur.
Point négatif pour M. Bayrou : l’Association des maires de France, présidée par David Lisnard, le maire (Les Républicains) de Cannes (Alpes-Maritimes), avait décidé la veille de décliner l’invitation, refusant d’« être les figurants d’une énième séquence de communication ».
Qualifiant d’« épreuve de vérité » sa conférence de presse, François Bayrou a partagé « son diagnostic » illustré par une série de graphiques sur la situation économique du pays touchée dernièrement par les aléas géopolitiques. « Nous n’avons pas assez de ressources parce que notre pays ne produit pas assez (…) ; nous dépensons trop par rapport à nos recettes », a-t-il argué.
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