Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

Lors d’une conférence de presse mardi matin, le premier ministre n’a pas détaillé la nature de l’effort budgétaire de 40 milliards d’euros annoncé dimanche par le ministre de l’économie, Eric Lombard.

Article réservé aux abonnés

Le premier ministre, François Bayrou, avec, à sa gauche, le ministre de l’économie, Eric Lombard, 
et la ministre chargée des comptes publics, Amélie 
de Montchalin, lors d’une conférence sur les finances publiques, à Paris, le 15 avril 2025.

François Bayrou, agrégé de lettres, n’ignore en rien le pouvoir des mots. « Montagne de difficulté », « situation intenable », « cercle vicieux », « piège dangereux »… En recourant à un lexique catastrophiste, mardi 15 avril, lors d’une conférence sur les finances publiques organisée à l’issue d’un « comité d’alerte du budget », le premier ministre a voulu capter l’attention d’une opinion publique défiante à son égard. « Rien ne serait possible sans le soutien [des Français]. Et leur soutien ne viendra que de leur pleine information », a-t-il estimé devant les membres de son gouvernement, les représentants syndicaux et une poignée de parlementaires réunis rue de Ségur.

Point négatif pour M. Bayrou : l’Association des maires de France, présidée par David Lisnard, le maire (Les Républicains) de Cannes (Alpes-Maritimes), avait décidé la veille de décliner l’invitation, refusant d’« être les figurants d’une énième séquence de communication ».

Qualifiant d’« épreuve de vérité » sa conférence de presse, François Bayrou a partagé « son diagnostic » illustré par une série de graphiques sur la situation économique du pays touchée dernièrement par les aléas géopolitiques. « Nous n’avons pas assez de ressources parce que notre pays ne produit pas assez (…) ; nous dépensons trop par rapport à nos recettes », a-t-il argué.

Il vous reste 74.34% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.