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Autrefois très répandue sur cette île des Antilles, la culture du cacao y était moribonde dans les années 2000, avant un projet de redémarrage de la filière. La surface plantée en cacaoyers est passée de 4 à 130 hectares en une quinzaine d’années, et la production pourrait atteindre 100 tonnes en 2030.
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En toute discrétion, les cacaoyers font leur réapparition dans les vergers de Martinique. La culture de cet arbuste originaire d’Amérique centrale avait pourtant quasiment disparu sur cette île des Antilles, où elle avait été pratiquée à grande échelle au début de l’époque coloniale, aux XVIIe et XVIIIe siècles, avant d’être abandonnée au profit de la canne à sucre, plus lucrative. Après avoir culminé à plusieurs milliers de tonnes par an durant le règne de Louis XIV, la production de cacao avait connu un long déclin sur l’île.
« Le cacao, c’est une culture patrimoniale en Martinique », souligne Kora Bernabé, ingénieure agronome et présidente de Valcaco, l’association qui regroupe les producteurs et les acteurs de la filière. Ce n’est qu’au début des années 2010 que les principaux chocolatiers de Martinique ont exprimé le souhait de relancer la filière moribonde. L’île ne comptait plus que 4 hectares de cacaoyères, soit « 4 000 arbres », précise cette exploitante de 36 ans, qui a repris la parcelle de son grand-père, sur les hauteurs du Carbet, dans le nord volcanique de la Martinique.
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