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A l’exception de quelques secteurs, les effets de la hausse des droits de douane aux Etats-Unis devraient être limités pour le continent africain, dont les relations commerciales avec Washington restent modestes.
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Dans la guerre commerciale planétaire que vient d’engager Donald Trump, la ponction la plus sévère est infligée à un petit pays africain : le Lesotho, royaume montagneux d’Afrique australe, dont les exportations vers les Etats-Unis supporteront désormais des droits de douane de 50 %. Un pays dont « personne n’a jamais entendu parler », avait déjà lâché Donald Trump début mars, au cours d’une intervention devant le Congrès visant à justifier les coupes massives dans les programmes d’aide destinées aux nations en développement.
Le coup est rude pour cet Etat, dont le PIB par habitant était inférieur à 920 dollars en 2023 et dont l’économie dépend fortement de l’assistance étrangère et des exportations de vêtements vers le marché américain.
Mais il n’est pas le seul, sur le continent, à être lourdement taxé. Outre un taux minimum de 10 % visant l’ensemble de ses partenaires, Washington a mis en place des droits de douane plus élevés – dits « réciproques » – pour 56 pays, dont une vingtaine en Afrique. Parmi eux, Madagascar et Maurice, avec des droits portés respectivement à 47 % et 40 %, mais aussi le Botswana (37 %), l’Angola (32 %), la Libye (31 %), l’Algérie (30 %) et l’Afrique du Sud (30 %).
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