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La filiale des Galeries Lafayette est en passe d’être racheté par un fonds, après avoir frôlé la liquidation. Un plan social est en cours dans un climat de tension et de défiance.

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Des clients attendent devant l’entrée des Galeries Lafayette, au centre commercial du Prado, à Marseille, le 21 janvier 2025.

Les salariés de BazarChic, le site de « ventes privées » de marques de mode, vivent depuis plusieurs mois dans une « situation de stress maximum » et « un climat de brutalité », selon plusieurs élus (sans étiquette syndicale) du comité social et économique (CSE) qui – signe du niveau de tension actuel – souhaitent préserver leur anonymat.

Cette atmosphère délétère s’est installée depuis que les salariés ont appris en novembre 2024 que leur entreprise allait d’abord fermer. Puis, quelques mois plus tard, lorsqu’ils ont su que la société allait finalement être vendue à un gestionnaire d’actifs par son actionnaire, les Galeries Lafayette. Avec à la clé, un plan social petit par son volume brut (58 personnes sur une centaine de salariés), mais rocambolesque par son histoire, émaillée de tensions et de rebondissements, mettant les nerfs des employés à rude épreuve.

En 2016, le groupe de grands magasins avait racheté l’affaire à ses fondateurs, Liberty Verny et Nathalie Gillier, notamment pour écouler les invendus des anciennes collections des Galeries Lafayette. Doté à cette époque de cinq magasins physiques de déstockage et d’un site spécialisé dans le voyage, en plus de son activité principale, BazarChic, créé en 2006, affichait alors 80 millions d’euros de chiffre d’affaires et comptait 6,4 millions de clients.

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