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Les Bourses mondiales continuent de plonger, le pétrole chute et beaucoup d’analystes évoquent le krach de 1987 et la crise de 2008.
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« Nous allons rapidement toucher un point bas sur le marché. » Peter Navarro, conseiller de la Maison Blanche sur les questions commerciales, s’efforçait de rassurer dimanche 6 avril sur Fox News, en rappelant aux investisseurs que « vous ne perdez pas d’argent tant que vous n’avez pas vendu ». Peine perdue : les principales places financières mondiales poursuivaient leur dégringolade lundi, cinq jours après la déclaration de guerre commerciale lancée par Donald Trump et trois jours après la riposte chinoise. En Europe, une heure après l’ouverture lundi, la Bourse de Paris cédait 5,2 %, celle de Francfort 6,3 %, celle de Londres 4,8 %. A Paris, aucune des valeurs de l’indice CAC 40 n’échappait au mouvement.
La menace d’une récession aux Etats-Unis et celle d’un coup de frein brutal à la croissance dans les autres pays développés continuent d’alimenter un mouvement massif d’aversion au risque et de repli sur les valeurs refuges sans précédent depuis la pandémie de Covid-19.
D’autant que le président américain, que certains observateurs espéraient voir assouplir son discours face à la baisse de Wall Street, a campé sur ses positions dimanche, expliquant qu’il « [fallait] parfois prendre un traitement pour se soigner ». « Quel est le niveau de douleur que Trump et son administration peuvent supporter ?, s’interroge dans une note François Rimeu, stratège de Crédit Mutuel AM. Est-ce qu’une baisse supplémentaire de 10 % ou 15 % pourrait le faire changer d’avis ? C’est possible, mais loin d’être certain et en l’état, la baisse ne semble pas suffisante. »
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