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Depuis 2022, le Paris Saclay Cancer Cluster porte le projet de faire de cette zone un fer de lance français de la recherche et du développement industriel en oncologie. Les premiers bâtiments ont commencé à sortir de terre.

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Le président français Emmanuel Macron (au centre), à l’Institut Gustave-Roussy, à Villejuif, le 4 février 2025.

Aux abords de la nouvelle gare de métro (ligne 14) de Villejuif (Val-de-Marne), l’effervescence qui règne en surface sur le chantier du Campus Grand Parc contraste avec le calme des profondeurs de la station en ce milieu de matinée. Sur les grilles métalliques qui entourent le site, où une pelleteuse manœuvre entre plusieurs monticules de terre, des panneaux d’information vantent tour à tour la construction d’une « ville hospitalière », l’émergence d’un « quartier scientifique », et la création d’un « biocluster français dédié à l’oncologie ».

Un bon résumé de l’ambition portée, depuis son lancement en 2022, par le Paris Saclay Cancer Cluster (PSCC), chef d’orchestre de ce futur « Kendall Square à la française » de l’oncologie, en référence au célèbre quartier de Cambridge, situé dans la banlieue de Boston, aux Etats-Unis, et devenu, en quelques décennies, la place forte mondiale de l’innovation pharmaceutique.

Avec un budget de 160 millions d’euros, dont 100 millions alloués par l’Etat dans le cadre du plan France 2030, la fondation de coopération scientifique à but non lucratif, qui compte parmi ses membres fondateurs l’Institut Gustave-Roussy, Sanofi, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, l’université Paris-Saclay et l’Institut polytechnique de Paris, est loin d’égaler les sommes mises sur la table à ses débuts pour son modèle américain.

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