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En Isère, le projet de reprise du groupe chimique par une coopérative portée par des salariés, des industriels et des collectivités locales n’a pas convaincu, faute d’avoir eu le temps d’être étayé. Le repreneur s’est engagé à maintenir une cinquantaine d’emplois sur les 450 que comptait le groupe.

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L’usine Vencorex de Pont-de-Claix (Isère), le 12 mars 2025.

L’annonce faite, à l’avant-veille de la décision, d’une mise de 45 millions d’euros par une entreprise de chimie indienne n’aura pas suffi à convaincre les juges du tribunal de commerce. Vencorex, acteur majeur de la chimie dans le bassin grenoblois produisant du chlore, de la soude, de l’hydrogène et des isocyanates, ne sera pas repris sous la forme d’une société coopérative d’intérêt collectif (SCIC). C’est le concurrent de Vencorex, le chinois Wanhua, qui reprendra très partiellement l’activité sur le site de Pont-de-Claix (Isère) par le biais de sa filiale hongroise BorsodChem, a décidé le tribunal, jeudi 10 avril.

Une poignée de salariés avaient monté dans l’urgence ce projet, alors que le concurrent chinois décidait d’améliorer son offre, six mois après le début du redressement judiciaire en septembre 2024. « C’est une forme relativement récente de société coopérative, qui compte encore assez peu d’exemples dans l’industrie, explique Fatima Bellaredj, déléguée générale de la Confédération générale des SCOP et des SCIC (CGSCOP). C’est un statut qui permet d’engager différentes parties prenantes autour d’un projet économique pour le territoire. »

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