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Laurence Girard
En France, cette petite filière revendique sa diversité, mais elle ne fait pas le poids face au rouleau compresseur chinois et ses prix cassés. Les producteurs réclament l’instauration de barrières douanières sur l’ail transformé, raconte, dans sa chronique, Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
Publié aujourd’hui à 10h30 Temps de Lecture 1 min.
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L’ail était en majesté à la porte de Versailles. Les producteurs de cette plante de la famille des liliacées ont profité de la vitrine du Salon international de l’agriculture à Paris pour faire sa promotion. Et c’est peu dire que lever le voile, ou plutôt l’enveloppe qui enrobe ce condiment, ne manque pas de piquer la curiosité. Ail rose de Lautrec, ail blanc de Lomagne, ail violet de Cadours, ail de la Drôme, de Piolenc, d’Auvergne, mais aussi ail fumé d’Arleux, il y en a pour tous les goûts du terroir et les couleurs jusqu’au noir.
Cette petite filière française, qui compte de 2 500 à 3 000 producteurs répartis sur le territoire, revendique, en effet, sa diversité avec ses cinq signes de qualité, indication géographique protégée (IGP) ou appellation d’origine protégée (AOP). Sans oublier un Label rouge. Mais sa production est limitée. « Nous récoltons 30 000 tonnes d’ail en France, sur plus de 4 000 hectares, à comparer aux 230 000 tonnes collectées en Espagne », précise Christiane Pieters, productrice dans le Gers et présidente de l’Association nationale interprofessionnelle de l’ail.
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