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« L’hyperpuissance de l’automobile chinoise ». Renault a ouvert il y a un an, à Shanghaï, un centre de développement. Stellantis compte plusieurs centaines d’ingénieurs, et Volkswagen une entité de plus en plus autonome avec des partenaires locaux comme Horizon Robotics.

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Le directeur général du groupe Renault, Luca de Meo, lors de la présentation d’un prototype de voiture électrique Renault Twingo à Paris, le 15 novembre 2023.

On ne peut pas encore visiter les locaux d’ACDC à Shanghaï. Ils sont en cours d’aménagement. ACDC, c’est le sigle d’Advanced China Development Center (ou « centre de développement avancé pour la Chine ») d’Ampere, la filiale de Renault réservée à la voiture électrique. Luca de Meo, directeur général du constructeur français, a souhaité le mettre en place pour bousculer les équipes du Technocentre de Guyancourt (Yvelines). Il souhaite réduire les délais de mise sur le marché des modèles électriques, en commençant par la future Twingo électrique.

Elle doit être mise au point, développée et lancée en trente mois, soit un gain de temps de 40 % par rapport à la R5. Et le temps, c’est de l’argent. « Ce que nous faisons depuis si longtemps, il y a des gens en Chine capables de le faire beaucoup plus vite que nous », reconnaît Philippe Brunet, patron de l’ingénierie d’Ampere et d’ACDC.

L’équipe ACDC, créée il y a à peine un an, compte 150 personnes, triées sur le volet pour leurs compétences, et très bien payées : près du double du salaire d’un ingénieur au Technocentre pour certaines. Même si, à modèle comparable, les voitures chinoises sont moins chères que les européennes, Shanghaï, nouvelle capitale mondiale de l’automobile, n’est pas un endroit où l’on fait des économies.

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