Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

Les clubs du championnat de France, qui retrouvent les terrains vendredi après la trève internationale, traversent une crise économique qui incite les instances du football à réfléchir à un nouveau modèle.

Article réservé aux abonnés

Le président de la Ligue de football professionnel, Vincent Labrune (à gauche), et celui de la Fédération française de football, Philippe Diallo, le 11 janvier 2023 à Paris.

C’est la crise de trop, qui a provoqué un déclic. Le dossier des droits télévisés, avec le conflit qui a opposé au cours des dernières semaines la Ligue de football professionnel (LFP) et le principal diffuseur de la Ligue 1, DAZN, a convaincu le président de la Fédération française de football (FFF), Philippe Diallo, de la nécessité de « réformer en profondeur » un sport en plein marasme. Plus question de mettre la poussière sous le tapis. M. Diallo a lancé des Etats généraux, le 3 mars, afin de réfléchir à un nouveau modèle économique pour le football français, tout en modifiant sa gouvernance.

Si les mesures définitives ne sont pas encore connues – elles sont attendues pour la deuxième quinzaine d’avril –, Philippe Diallo et la ministre des sports, Marie Barsacq, ont déjà esquissé les contours de ce chantier d’ampleur, visant à remédier à « un problème structurel » : les graves difficultés financières des clubs professionnels. Dans leur esprit, les formations de Ligue 1 et de Ligue 2 – dont plusieurs sont « menacées dans leur existence », selon les termes du président de la FFF – doivent bâtir un nouveau modèle, dans lequel les recettes issues des droits télévisés et des transferts ne constitueraient plus l’essentiel de leurs ressources. Le 3 mars, Mme Barsacq a enjoint au football professionnel de sortir de cette double « dépendance », insistant sur la nécessité de disposer d’un secteur « en bonne santé ».

Il vous reste 82.83% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.