Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

En 2017, la somme investie par le groupe turc Candy Group International pour le rachat de la banque ivoirienne a disparu deux semaines après son versement. Huit ans plus tard, l’argent reste introuvable.

Article réservé aux abonnés

La Cité financière, dans le quartier du Plateau, à Abidjan (Côte d’Ivoire), où sont installées les principales administrations du ministère du budget et du ministère des finances, en mai 2019.

Cela pourrait être le point de départ d’un thriller financier : deux semaines après avoir été versés, en 2017, les 50 millions investis par le groupe financier turc Candy Group International (CGI) pour le rachat de la banque ivoirienne Cofipa, en cessation de paiement, se sont volatilisés. Huit ans plus tard, CGI assure n’avoir jamais revu la couleur de son argent. Aucun de ses recours, ni à l’amiable, ni en justice, n’a abouti. L’entreprise soupçonne un détournement de fonds massif.

Retour en 2017. La Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) décide alors de relever à 10 milliards de francs CFA le capital social minimum des banques de la zone de l’Union économique et monétaire ouest-africaine. Plusieurs banques de la région, ivoiriennes notamment, se retrouvent en difficulté en raison de cette mesure. La Cofipa Investment Bank-Côte d’Ivoire (CIB-CI), dont le capital n’atteint alors que la moitié de cette somme, en fait partie. Déjà en cessation de paiement, la banque se trouvait depuis 2011 sous administration provisoire de l’Etat, placée par le ministre des finances sous la tutelle d’un banquier nommé A. C.

Il vous reste 79.11% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.