Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
L’Arcom a dévoilé, mercredi, le nom des trois autres candidats : Irène Grenet, ex-directrice générale adjointe de la régie publicitaire, Jean-Philippe Lefevre, ex-directeur de l’antenne et des programmes de Public Sénat, et Frédérique Dumas, productrice et ancienne députée.
Article réservé aux abonnés
Foin des suspenses inutiles : seuls quatre candidats à la présidence de France Télévisions, sur les six noms qui circulaient ces dernières semaines (selon un décompte incomplet), auront l’occasion de défendre leur projet pour le groupe de télévision public. L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) a dévoilé, mercredi 30 avril, les noms de ceux dont elle écoutera les arguments – elle avait jusqu’au 5 mai pour le faire.
La présidente sortante, Delphine Ernotte, ouvrira le bal le 12 mai à 14 heures, avant de céder le micro à la productrice et ancienne députée centriste Frédérique Dumas, le même jour à 16 h 30. Suivront, le lendemain à 8 h 30 et 11 heures, les deux candidats restés dans l’ombre jusqu’ici (quoique leurs noms aient été révélés par le média numérique spécialisé dans les politiques publiques Contexte) : l’ancienne directrice générale adjointe de la régie publicitaire, Irène Grenet, et l’ancien directeur de l’antenne et des programmes de Public Sénat, Jean-Philippe Lefevre.
Premier à avoir revendiqué sa candidature, le journaliste à Franceinfo (la chaîne de télévision) et délégué syndical (SNJ) Serge Cimino a accueilli sa déconvenue de ne pas avoir été retenu pour une audition d’un message sur le réseau X assurant de sa détermination à « continuer le combat de l’intérieur » – son projet s’intitulait « Réparer ».
Comme lui, Michel Goldstein, rédacteur en chef à France Télévisions, avait été auditionné en 2020. Cet autre journaliste, qui avait également tenté de succéder à Marie-Christine Saragosse à la tête de France Médias Monde en 2018, échoue également à aller au-delà de l’acte de candidature.
Fondateur de la société de conseil Ozons, Jean-Philippe Lefevre a passé vingt-deux ans à Public Sénat, jusqu’à occuper, entre 2015 et 2022, le poste de directeur de l’antenne, de la programmation et des programmes. A l’occasion du processus de succession à Christopher Baldelli à la tête de la chaîne parlementaire du Palais du Luxembourg, à l’automne 2024, il avait déposé un dossier qui n’avait pas été retenu par les sénateurs.
Il vous reste 51.75% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.