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Philippe Escande
Alors que le « conclave » sur la réforme des retraites instauré par François Bayrou paraît coincé, la solution pour rétablir les comptes publics pourrait passer par une progressivité plus grande des pensions et du départ lui-même, observe Philippe Escande, éditorialiste au « Monde ».
Publié hier à 11h30, modifié hier à 14h29 Temps de Lecture 2 min.
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Avec la clé. En latin classique, un conclave désigne une pièce fermée à clé (cum clave). Par extension, l’Eglise lui a donné le sens d’une réunion à huis clos des cardinaux afin d’élire le pape. Un enfermement nécessaire pour s’extraire des pressions politiques.
Le « conclave » installé par François Bayrou pour trouver un terrain d’entente sur les retraites devait être bien mal fermé puisque trois organisations majeures ont réussi à en sortir : la CGT, Force ouvrière et l’Union des artisans (U2P). Les participants restants ont cependant réussi, jeudi 27 mars, le petit miracle de s’entendre sur un plan de travail en quatre points : l’équilibre financier, la parité, la solidarité et le partage de l’effort.
Aller plus loin sera plus difficile que de choisir un souverain pontife. Au cœur des querelles, évidemment, l’âge de départ. Une ligne rouge symbolique pour tout le monde, les uns la considérant comme un plafond, les autres comme un plancher. Les syndicats, et derrière eux la majorité des Français, l’ont érigé en conquête sociale, tandis que le patronat, et surtout le gouvernement, y voit un élément fondamental du rétablissement des comptes de la nation.
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