Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
Roland Guény
Avocat
Oksana Zoppini
Avocate
L’Union européenne a prouvé qu’elle était capable de rapidement structurer des dispositifs de financement solides pour soutenir un pays dans l’épreuve. Elle doit les préserver et les pérenniser dans la perspective de la fin de la guerre, afin de l’aider à se reconstruire, selon les avocats Roland Guény et Oksana Zoppini, spécialistes de l’Ukraine, dans une tribune au « Monde ».
Publié hier à 19h30 Temps de Lecture 2 min.
Article réservé aux abonnés
Alors que les négociations diplomatiques en cours tentent d’esquisser les contours d’un éventuel accord de paix pour mettre un terme à l’invasion russe en Ukraine, la reconstruction économique du pays ne doit pas être reléguée au second plan. Cette reconstruction passe par un soutien financier accru, pour garantir la stabilité future de l’Ukraine, mais aussi de l’Europe. La sécurité des Européens, pilier de la stabilité économique, est étroitement liée à celle des Ukrainiens.
Depuis le début de la guerre, 117 milliards d’euros d’aides financières, non militaires, ont été versés à l’Ukraine, dont 52 milliards d’euros de la part de l’Union européenne et de ses pays membres.
La France a pleinement pris sa part, en mobilisant des financements à travers de nombreux dispositifs, dont le fonds de soutien des infrastructures critiques et secteurs prioritaires de l’économie ukrainienne, dit « Fonds Ukraine ». Doté de 200 millions d’euros, il a permis de mobiliser des financements pour des projets concrets, allant de la robotique aux équipements médicaux en passant par l’énergie.
Il vous reste 71.95% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.