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Estée Lauder, Ralph Lauren, Neutrogena… Des Français sont à la tête d’une trentaine de grandes entreprises étrangères dont la capitalisation, de 2 000 milliards de dollars, dépasse celle du CAC 40. Un phénomène qui illustre autant la réussite de l’école managériale tricolore que la fuite des cerveaux dont souffre l’Hexagone.
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C’est une devinette à 2 000 milliards de dollars (près de 1 800 milliards d’euros). Depuis le 23 avril, Marguerite Bérard, 47 ans, ancienne patronne du réseau d’agences de BNP Paribas, dirige la banque néerlandaise ABN Amro. Quel est le point commun entre cette institution et la trentaine de groupes que nous allons énumérer ?
Prenons d’abord six marques américaines iconiques : Estée Lauder, Ralph Lauren, Tory Burch, Michael Kors, Neutrogena ou les grands magasins Bloomingdale’s. Ajoutons sept champions pharmaceutiques : AstraZeneca, UCB, LEO Pharma, Takeda, Moderna, Kenvue et Incyte. Poursuivons avec l’allemand Nivea-Beiersdorf, le suisse Nestlé, l’assureur italien Generali, le fabricant belge de matériel militaire et industriel John Cockerill, l’agence suisse de travail temporaire Adecco, le groupe de distribution britannique Kingfisher, le chinois JD Sports, les ascenseurs et escalators Kone ou l’entreprise néerlandaise ASML, sans qui aucune nanopuce électronique ne serait imprimée. Citons encore deux entreprises de la tech bien connues : Expedia, qui chapeaute des agences de voyages en ligne (Hotels.com, Abritel…), et Instacart, numéro un des livraisons de courses aux Etats-Unis. Ou encore plusieurs « licornes » (des start-up qui valent plus de 1 milliard de dollars ou d’euros) : Datadog, Snowflake, F5, Front, Upgrade, Hugging Face, Deel…
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