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Les banques créancières ont accepté d’effacer 470 millions d’euros de dette de l’enseigne en grande difficulté, à condition que Philippe Ginestet, créateur de ces magasins discount, lâche les commandes de l’entreprise.

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Un magasin GiFi, à Gradignan (Gironde), le 15 novembre 2024.

Le discounter GiFi est-il enfin tiré d’affaire ? L’enseigne spécialisée dans les articles de bazar a annoncé, vendredi 17 janvier, dans un communiqué, être parvenue à un accord avec ses créanciers afin de pérenniser l’entreprise. La veille, dans l’après-midi, la direction de l’enseigne avait présenté l’état des lieux aux représentants du personnel lors d’une réunion extraordinaire du comité social et économique. « Une solution arrive enfin. On attend la suite », a précisé, au Monde, au sortir de cette réunion, Laurent Mardaga, délégué CFDT, qui n’en dira pas davantage en raison d’« un devoir de confidentialité ».

Au terme de longues heures de négociations, les principaux établissements créanciers, dont le Crédit mutuel, le Crédit agricole ou encore BNP Paribas, ont accepté d’effacer 470 millions d’euros de dettes, selon La Lettre. Elles deviendront actionnaires de GiFi via une fiducie. Les banques se sont également engagées à injecter, selon nos informations, entre 150 millions et 200 millions d’euros pour renflouer immédiatement la trésorerie, mais à une seule condition : que Philippe Ginestet, le fondateur de l’enseigne, et son fils n’aient plus aucun rôle opérationnel dans l’entreprise. Philippe Ginestet en restera toujours actionnaire à travers sa holding, GPG.

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