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Plusieurs syndicats s’inquiètent d’une proposition de loi visant à « permettre aux salariés de certains établissements et services de travailler le 1ᵉʳ-Mai », notamment les boulangers et les fleuristes.
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Quelques contentieux très isolés ont suffi pour donner une dimension nationale à l’affaire. Avec le soutien du gouvernement, des sénateurs du groupe Union centriste (UC) viennent de déposer une proposition de loi dont le but est de « permettre aux salariés de certains établissements et services de travailler le 1er-Mai ». Sont visées en tout premier lieu les boulangeries, mais d’autres commerces – comme les fleuristes, par exemple – entrent dans le champ de ce texte. Plusieurs syndicats dénoncent la démarche qui, à leurs yeux, remet en cause une journée chômée par de nombreux actifs tout en portant atteinte à un symbole des revendications sociales portées depuis le XIXe siècle à travers le monde.
La controverse prospère dans l’arène politique depuis deux semaines, mais elle est, en très grande partie, liée à un épisode qui date presque d’une année. Le 1er mai 2024, cinq boulangeries de Vendée sont verbalisées par l’inspection du travail au motif qu’elles ont employé certains de leurs collaborateurs ce jour-là. La décision de l’administration crée un choc au sein de la profession, car elle est rare. Quelques boutiques, situées dans le nord de la France et à Paris – dont une de celles exploitées par Jean-François Bandet sous l’enseigne Bo & Mie –, avaient déjà été inquiétées, les années précédentes, mais elles se comptaient sur les doigts de la main.
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