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Alors que les chocs que subissent les économies ultramarines, déjà fragiles, se répètent depuis la pandémie du Covid-19, leur banque centrale s’inquiète d’une stagnation économique et préconise des réformes structurelles.
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« La vulnérabilité des outre-mer français s’accroît » et leur « dynamique économique se trouve enrayée ». Le constat dressé par l’Institut d’émission des départements et territoires ultramarins (IEDOM), leur banque centrale, dans son bilan annuel présenté mardi 29 avril, ne porte pas à l’optimisme malgré les discours volontaristes du gouvernement.
Dans une conjoncture difficile, l’IEDOM a appliqué en outre-mer la baisse des taux d’intérêt directeurs décidée au niveau européen pour soutenir la consommation et les investissements. Mais la politique monétaire ne peut pas tout, et, de la Martinique à la Nouvelle-Calédonie, les chocs que doivent encaisser ces économies déjà fragiles se répètent depuis la pandémie du Covid-19 : cyclones, tensions liées à la vie chère, émeutes, anticipations négatives liées à l’isolationnisme américain.
A La Réunion, le cyclone Belal a conduit à une augmentation des prix de l’alimentaire de 36 % deux mois après la catastrophe, leur niveau ne retrouvant la « normale » que dix mois plus tard – sachant que les écarts préexistants avec l’Hexagone s’élevaient déjà à 30 %. A Mayotte, selon la dernière enquête de conjoncture menée par l’IEDOM auprès de son panel d’entreprises, la quasi-totalité d’entre elles (96 %) ont déclaré une dégradation totale ou partielle causée par l’ouragan Chido.
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