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La décision de mercredi, victoire pour les milieux économiques qui ne parvenaient pas à faire reculer le président américain sur le sujet, chamboule les négociations en cours et ruine la tactique de menaces infligées puis retirées par le républicain. Le gouvernement américain a obtenu jeudi une suspension en référé du jugement.

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Donald Trump, à la Maison Blanche, à Washington, le 2 avril 2025.

Donald Trump a obtenu un répit : une cour d’appel fédérale a suspendu, jeudi 29 mai, en référé, l’annulation des droits de douane qu’il avait infligés à la planète entière le 2 avril, « jour de libération », avec ses prétendus droits réciproques ainsi qu’au Canada, au Mexique (25 %) et à la Chine (20 %), trois pays accusés de ne pas empêcher le trafic de fentanyl vers les Etats-Unis. « Les jugements et les injonctions permanentes prononcés par le Tribunal de commerce international sont temporairement suspendus jusqu’à nouvel ordre, le temps que ce tribunal examine les requêtes », écrivent les juges d’appel.

Il n’empêche, l’étau judiciaire se resserre. La veille, mercredi, un panel de trois juges du Tribunal du commerce international, une instance peu connue, sise à New York, avait estimé que l’International Emergency Economic Powers Act (IEEPA) de 1977, invoqué par Donald Trump, ne lui permettait pas d’imposer de telles sanctions. « Le tribunal n’interprète pas l’IEEPA comme conférant une telle autorité illimitée et annule les droits de douane contestés imposés en vertu de celle-ci », tranchent les juges. Ces derniers avaient été saisis par cinq entreprises s’estimant lésées et par douze Etats fédérés emmenés par l’Oregon.

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