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Un rapport de l’agence Bloomfield Intelligence salue les performances économiques du pays tout en mettant en garde contre les tensions sociopolitiques grandissantes.

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Dans le quartier d’Adjamé, à Abidjan, le 6 septembre 2024.

Est-il encore sage d’investir en Côte d’Ivoire à six mois de l’élection présidentielle, le 25 octobre ? Telle est, en substance, la question à laquelle a voulu répondre l’agence de notation panafricaine Bloomfield Investment Corporation. Mercredi 16 avril, devant un parterre d’hommes d’affaires et de quelques personnalités politiques, son patron, Stanislas Zézé, a présenté à l’hôtel Ivoire son rapport annuel réalisé par sa filiale Bloomfield Intelligence sur l’évaluation des risques d’investissement dans le pays. Avec une conclusion en demi-teinte, qui a tantôt réjoui, tantôt fait grincer les dents des ministres alignés au premier rang.

L’entrepreneur a salué « l’excellente performance économique » de la Côte d’Ivoire, mais il a aussi pointé que cette performance n’avait « pas l’impact social recherché » et mis en garde contre les tensions sociopolitiques grandissantes. Avec un taux de croissance soutenu, de l’ordre de 6,5 % par an en moyenne sur la période 2021-2024, la Côte d’Ivoire est « l’une des économies les plus dynamiques du continent africain », félicite le rapport, et se maintient donc dans la catégorie des pays à faible risque pour les investisseurs. Mais ce score est plombé par « des contraintes majeures », pointe l’agence, « telles que les changements climatiques, l’instabilité politique […] et les tensions géopolitiques ».

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