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Leur besogne est encore moins simple que d’habitude. Alors que le 1er-Mai les autorise à prendre possession de la rue, pour être vus et entendus, les syndicats semblent à la peine. Tout se passe comme si les questions sociales étaient reléguées au second plan par les éléments de langage peu réjouissants de l’exécutif : travailler plus, réduire les déficits et la dette, réarmer le pays… Au moment où la dégradation du marché de l’emploi assombrit davantage l’horizon, les divergences entre organisations de salariés s’avèrent plus visibles que leur désir de concorde, même si les acteurs en présence continuent de se parler dans un esprit – au moins apparent – de respect mutuel.
En cette Journée internationale de lutte pour les droits des travailleurs, les directions de la Confédération générale du travail (CGT), de la Fédération syndicale unitaire (FSU) et de Solidaires, ainsi que plusieurs mouvements de jeunesse, invitent leurs militants et la population à occuper l’espace public. « Plus de 250 » manifestations et lieux de rassemblements sont annoncés. Force ouvrière (FO) a l’intention de participer à certaines de ces initiatives dans plusieurs villes, à l’appel de ses structures territoriales, tout en se déployant, seule, à d’autres endroits, en particulier au Mur des fédérés, à Paris – comme chaque 1er-Mai. Quant à la Confédération française démocratique du travail (CFDT) et à l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA), elles s’impliquent dans l’événement en tenant, dans la capitale, une table ronde consacrée au travail.
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