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L’entreprise fondée en 1989 emploie 120 personnes. La hausse des coûts des matières premières et l’inflation ont aggravé ses difficultés.

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Devant un magasin de l’enseigne La Cure gourmande, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), le 6 juin 2022.

Sur la place du Marché de Nîmes (Gard), ce premier samedi de mai, les touristes se dirigent presque instinctivement vers la boutique dont la façade jaune et rouge rappelle les magasins d’antan. A l’intérieur, des gourmandises made in Occitanie : berlingots, madeleines fourrées, biscuits secs, chocolats et sucettes présentés dans un packaging à la mode artisanale. « L’activité fonctionne à plein régime », lâche l’une des salariées, à l’intérieur de ce magasin ouvert il y a à peine un an.

Rien ne laisse deviner que cette boutique de confiseries et de chocolats vit une période délicate. Le 7 avril, l’enseigne La Cure gourmande a pourtant été placée en liquidation judiciaire par le tribunal de Montpellier (Hérault). L’entreprise, qui peut poursuivre son activité jusqu’en juin, cherche un repreneur. Près de 120 emplois sont menacés, dont 40 sur les sites de production.

L’information, révélée par le journal Les Échos, ébranle le sud-est de la France, notamment l’ex-Languedoc-Roussillon où a été fondée l’entreprise, en 1989, par Christian Berlan et Edouard Hennebert. La Cure gourmande a installé son premier atelier de fabrication dans l’ancienne gare de Balaruc-les-Bains (Hérault), près de Sète, une cité thermale qui a inspiré le nom de la marque. Dans cette région touristique, la marque a rapidement trouvé sa clientèle : les touristes.

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