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La crise du pouvoir d’achat pèse sur le groupe qui exploite 1 600 magasins en France et emploie 46 000 salariés.
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« Ils n’ont pas gagné autant [que d’habitude], mais ce n’est pas si alarmant que ça. » Pour Sabine Pruvost, déléguée syndicale Force ouvrière de Lidl en France, comme pour ses collègues, il n’y avait pas de quoi, à l’issue de la réunion extraordinaire du comité social et économique (CSE), mardi 3 juin, déclencher un droit d’alerte sur les résultats économiques et la stratégie de l’entreprise, comme ils l’avaient envisagé. Même s’ils attendent encore l’avis du cabinet d’analyse Secafi sur les comptes, confidentiels, que la direction de Lidl France leur a transmis, pour se prononcer définitivement.
Depuis plusieurs mois, les représentants du personnel sont préoccupés par la situation financière du distributeur, qui exploite 1 600 magasins en France et emploie 46 000 salariés. Car l’enseigne allemande n’a pas autant profité que ses concurrents de l’engouement des ménages, au pouvoir d’achat contraint par la flambée inflationniste, pour le discount.
Début mars, lorsque la direction invoque une situation économique dégradée pour refuser les revendications salariales annuelles des syndicats, l’intersyndicale (CFDT, CGT, FO, CFTC et SNCDD-CFE/CGC) réfléchit à déclencher un droit d’alerte. La volonté de Lidl d’ouvrir ses magasins le dimanche pour accroître ses ventes et le départ soudain, le 1er mars, pour divergence de vues du numéro deux, Michel Biero, avaient ajouté à l’inquiétude.
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