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Ce dispositif a été pensé pour inciter les salariés à choisir des solutions de transport vertueuses : opter pour une voiture de fonction plus petite ou électrique, voire y renoncer.

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Première station-service tout-électrique de TotalEnergies, à Paris, le 11 décembre 2024.

Petit à petit, le prestige d’une belle voiture de fonction perd de sa superbe. Un frein culturel qui se libère notamment dans les grandes villes où des solutions de mobilité alternatives et un maillage efficace de transports en commun existent. Les nouvelles générations de salariés se tournent volontiers vers l’électrique, se départissent de la propriété et s’accommodent parfaitement des solutions de partage. Voilà justement le panel de possibilités offertes par le crédit mobilité, méconnu, même s’il existe depuis quelques années. Le but du législateur a été de réduire l’empreinte carbone du salarié, en lui proposant de bénéficier en contrepartie d’un crédit pour l’emploi de transports complémentaires en mobilités douces, partagées ou en transports en commun. Il peut en faire usage pour des trajets courts ou longs, y compris pour des déplacements personnels.

Concrètement, lorsqu’un salarié a droit à une certaine catégorie de voitures de fonction dans la politique d’attribution des véhicules de son entreprise, s’il choisit un modèle de la catégorie inférieure et/ou passe d’un modèle thermique ou hybride à une voiture 100 % électrique, la différence se transforme en crédit mobilité. Et, s’il renonce totalement à ce véhicule, c’est son TCO annuel (total cost of ownership, « coût total de possession ») qui est alors pris en compte. Une somme qui peut aller de 3 000 à 10 000 euros, selon Ayvens (la filiale de gestion de flottes et de location longue durée du groupe Société générale).

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