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Laurence Girard
Plus de 1 million de foyers aurait acheté du muguet en 2024, un volume en baisse depuis plusieurs années. Si la fleur associée à la Journée internationale des travailleurs reste produite en Loire-Atlantique, elle vient désormais majoritairement de Hambourg, constate Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
Publié hier à 07h30 Temps de Lecture 1 min. Read in English
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La plante à petites clochettes blanches est sous cloche. Le muguet, attend sagement, au frais, le 1er mai. Comme chaque année, les producteurs stressés jouent la montre pour que les brins du bonheur arrivent à l’heure et en fleur. Une tradition qui reste bien enracinée en France, même si elle perd un peu de terrain.
Fidèle au calendrier, l’interprofession française de l’horticulture, de la fleuristerie et du paysage (Valhor) vient de publier le résultat d’une étude annuelle menée par Kantar auprès d’un échantillon de 7 000 foyers. Il en ressort que 1,3 million de foyers aurait acheté du muguet en 2024, contre 2,3 millions cinq ans plus tôt. La somme globale déboursée, estimée à 19,4 millions d’euros, a, quant à elle, moins diminué. Et pour cause. La vague d’inflation, qui a déferlé sur tous les produits de grande consommation, n’a pas épargné le muguet.
« En cinq ans, le prix d’un pot vendu au départ de notre exploitation est passé de 3,4 à 4,40 euros, soit une hausse de près de 30 %. Mais cette année, il s’est stabilisé », explique Timothée de Valbray, dont le père, à la tête de la Pépinière Valbray, située dans le Var, a lancé la production de muguet en pot en 1978. Il en écoule désormais près de 600 000 et se targue d’être le premier producteur européen.
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