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L’exécutif européen doit présenter des propositions vendredi 28 mars, dont un aménagement des règles encadrant l’arrachage des vignes. Le secteur fait notamment face à une baisse continue de la consommation et aux effets du changement climatique, et se cherche un nouveau modèle.
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En France, en Espagne ou en Italie, le monde du vin attend avec inquiétude de savoir quel sort Donald Trump réservera aux exportations d’alcools européens, qu’il a menacées de taxer à 200 % si l’Union européenne (UE) s’en prend au bourbon du Kentucky. Il aura une première indication mercredi 2 avril, date à laquelle Washington devrait préciser ses intentions.
D’ici là, la Commission aura rendu publiques ses propositions pour soutenir une filière soumise à de nombreux défis. Vendredi 28 mars, l’exécutif communautaire devait en effet présenter une proposition de règlement en ce sens, qui devra ensuite être validée par les Etats membres et le Parlement européen.
Si l’UE reste le principal producteur (60 % de la production mondiale, selon la Commission), consommateur (48 %) et exportateur de vins (60 %), elle est aujourd’hui confrontée à une remise en question structurelle. Face à la baisse de la consommation (en 2023-2024, elle a chuté de 23 % par rapport à 2004-2005), la persistance de la surproduction, les effets du changement climatique et la concurrence des pays d’Amérique, le secteur viticole peine à trouver un nouveau modèle.
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