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L’échec de la reprise de l’usine Vencorex par ses salariés, comme avant elle celle de Sitek Insulation, montre que les coopératives peinent encore à trouver la confiance des financeurs publics, malgré leurs performances.

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Devant l’usine Vencorex, au Pont-de-Claix (Isère), le 7 novembre 2024.

C’est notamment parce que les financements « n’ont pas été réunis » que le tribunal de commerce de Lyon a jugé « irrecevable » le projet de société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) des salariés de Vencorex, jeudi 10 avril, au profit de l’offre concurrente du chinois Wanhua, qui ne gardera qu’une cinquantaine des 450 emplois.

Le 24 février, le tribunal de Strasbourg avait rejeté, pour les mêmes raisons, le projet de société coopérative ouvrière de production (SCOP) porté par 65 des 104 salariés de Sitek Insulation à Wissembourg (Bas-Rhin). Et placé l’usine de panneaux isolants en liquidation judiciaire. « J’ai du mal à tourner la page, on a bataillé tellement à fond pendant vingt mois », confie Alain Dehner, 56 ans, délégué syndical CFTC. Maintenant, c’est le chômage pour tout le monde. »

Des exemples emblématiques de « l’impuissance publique à trouver des solutions », estime Fatima Bellaredj, directrice générale de la Confédération générale des SCOP et SCIC. « Il manque un véritable portage politique et opérationnel des reprises d’entreprise par les salariés », dénonce-t-elle.

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