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L’Union des entreprises de proximité a présenté, mardi, des pistes ayant pour effet de rendre 116 milliards d’euros de pouvoir d’achat aux personnes en activité. Un « big bang populaire » qui implique de changer une partie du financement de la protection sociale en réduisant les prélèvements sur les revenus d’activité et en demandant des efforts à certaines catégories.
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Gagner plus en étant moins taxé sur son travail. C’est le sens de la proposition-choc dévoilée, mardi 6 mai lors d’une conférence de presse, par l’Union des entreprises de proximité (U2P), qui représente les artisans, les commerçants et les professions libérales.
Pour Michel Picon, le président de l’organisation patronale, il est possible de restituer 116 milliards d’euros par an à l’ensemble des personnes en activité – soit environ 28 millions de femmes et d’hommes –, quel que soit leur statut (salariés du privé, agents du public, indépendants, employeurs…). Un « big bang populaire » qui implique de supprimer certains prélèvements obligatoires, entraînant de gros changements dans le financement de notre modèle de protection sociale.
Les idées présentées mardi s’inspirent très largement du livre d’Antoine Foucher Sortir du travail qui ne paie plus (L’Aube, 2024). Dans cet ouvrage, le président de la société de conseils Quintet et ex-directeur du cabinet de Muriel Pénicaud, lorsque celle-ci était ministre du travail (mai 2017-juillet 2020), montre que la rémunération des individus exerçant une profession progresse à un rythme de plus en plus lent depuis plusieurs années.
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