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Par Bruna Basini, Benjamin Martinez et Victor Rocher
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DécryptageL’intelligence artificielle générative rebat les cartes du commerce en profondeur. En France, les entreprises commencent à adopter cette technologie dans le but d’améliorer leur productivité et la relation client.
« Rêvez grand ! » Le 12 janvier, à New York, à l’occasion de la grand-messe du commerce américain de la National Retail Federation, Azita Martin, vice-présidente chargée du commerce chez Nvidia, a sorti le grand jeu. L’éditeur de cartes graphiques continue de pousser ses solutions enrichies à l’intelligence artificielle (IA) générative dans le commerce. Au même titre que les autres géants de la Silicon Valley. De Microsoft à Google en passant par Meta, Amazon, mais aussi Salesforce, Cisco jusqu’aux spécialistes de l’IA générative, emmenés par OpenAI et son agent conversationnel (chatbot), ChatGPT, le plus utilisé du monde.
Tous sont dans la course pour rafler la mise d’un marché exponentiel. Le pitch d’Azita Martin sur l’entrée des éditeurs dans l’ère de l’« agentique », un terme qui désigne le jour où des nuées d’agents d’IA seront capables de réaliser des tâches de manière souveraine, a marqué les esprits.
« J’ai été bluffé, reconnaît Eric Dadian, président de l’Association française de la relation client. On s’est tout juste équipés en chatbots capables de converser avec des humains, et les éditeurs nous proposent déjà une interface avec des super-robots autonomes qui va bouleverser les parcours des clients, à la barbe des marques », analyse-t-il. Demain, un internaute pourra demander directement à un agent d’IA de lui organiser un voyage de bout en bout à travers une requête suffisamment précise.
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