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Dans le cadre d’une procédure judiciaire pour blanchiment, les enquêteurs cherchent à savoir dans quelles conditions Souleïman Kerimov et l’administration fiscale ont négocié un accord permettant à l’oligarque russe de mettre fin à un contentieux.
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L’affaire Kerimov est-elle plus qu’une simple histoire de fraude fiscale et blanchiment présumés autour de villas de luxe sur la Côte d’Azur ? Cette procédure judiciaire, conduite depuis l’été 2023 par le juge d’instruction Serge Tournaire au tribunal judiciaire de Paris, pourrait faire la lumière sur les dessous des négociations entre l’oligarque russe, proche de Vladimir Poutine, et le fisc français.
Selon les informations du Monde, des enquêteurs financiers ont mené, jeudi 27 mars, une perquisition au siège de la direction générale des finances publiques. Le parquet de Paris et la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée confirment l’existence des perquisitions qui « devraient permettre de comprendre le dispositif fiscal ayant concerné ces villas, pour un enjeu estimé à plus de 38 millions d’euros ».
Pour comprendre ces derniers développements spectaculaires – ce genre de perquisition étant très rare –, il faut remonter à 2014, lorsque le parquet de Nice ouvre une enquête sur l’acquisition de villas au cap d’Antibes (Alpes-Maritimes). L’une d’entre elles est achetée officiellement 35 millions d’euros, mais les acquéreurs auraient déboursé 92 millions supplémentaires en dessous-de-table. Très vite, des doutes apparaissent également sur l’identité du véritable acquéreur des biens, qui serait en réalité Souleïman Kerimov, un milliardaire russe placé sous sanctions européennes depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, qui n’a pourtant officiellement aucun lien avec les luxueuses demeures.
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