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Certains projets de reconversion de l’usine de Seine-et-Marne sont mis en pause au moins jusqu’en 2027. Il ne reste plus que six raffineries de pétrole en France métropolitaine, contre une vingtaine dans les années 1970, et leur avenir demeure incertain.
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Sous les hautes cheminées de l’ancienne raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne), à une heure de route de Paris, il y a encore de la vie. Chaque mardi, sur le coup de 15 heures, c’est le moment de la sirène : le temps d’une simulation d’incendie pour les pompiers présents en permanence sur ce site, inauguré en 1967 par « M. Georges Pompidou », alors premier ministre, comme le rappelle une plaque à l’entrée.
Dans la tête de salariés résonne aussi une inquiétude : de quoi sera fait exactement l’avenir de ces quelque 200 hectares, aujourd’hui en pleins travaux pour leur reconversion ? Au mois de septembre 2020, peu avant de cesser, en 2021, le raffinage du pétrole sur place, TotalEnergies annonçait vouloir convertir ce lieu en « plateforme zéro pétrole » opérationnelle dès… 2024. Entre-temps, 46 000 panneaux solaires ont déjà été implantés.
Mi-mars, les questions sont reparties de plus belle. Certes, malgré le retard, la direction du groupe pétrogazier poursuit son chantier principal : celui d’une « bioraffinerie » pour produire du carburant d’aviation durable (SAF, pour « sustainable aviation fuel » en anglais), à partir d’huiles de cuisson usagées ou de graisses animales. Soit une capacité annuelle de « 230 000 tonnes » à compter de début 2026, selon la dernière estimation de l’entreprise. Certes, elle maintient aussi son projet de recyclage chimique du plastique par pyrolyse, pour une mise en service attendue en 2025.
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