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Pour tenter de résoudre la crise du logement, certaines villes, à l’instar de Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques, ont décidé d’imposer des règles beaucoup plus restrictives aux loueurs de résidences secondaires et de meublés à la nuitée.

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La « Grande Plage » de Biarritz, en avril 2023.

La petite annonce est toujours postée sur la plateforme Airbnb, mais le propriétaire de cet appartement, situé dans une villa au cœur de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), prévient que, « compte tenu de la réglementation », il ne louera plus son bien à des touristes à la nuitée, mais uniquement en « bail mobilité ». Soit au minimum un mois, pour les voyageurs en formation ou en mutation professionnelle. A la tête d’une petite conciergerie, Maria (son prénom a été modifié) s’occupe du transfert des clés et du ménage de ce meublé, et mesure déjà les effets de nouvelles règles imposées au Pays basque. « J’avais douze locations saisonnières en charge, je n’en ai plus que quatre », témoigne-t-elle.

Confronté à une explosion du nombre de résidences secondaires et de meublés de type Airbnb, responsable de la flambée des prix de l’immobilier, le Pays basque a adopté un règlement très restrictif pour que les logements reviennent aux habitants qui y vivent et y travaillent à l’année. Depuis le 1er mars 2023, cette réglementation impose aux loueurs, en zones dites « tendues » (24 communes, dont Biarritz), d’obtenir une autorisation de « changement d’usage » et de respecter le principe de compensation.

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