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Dans un texte publié dans « La Tribune Dimanche », 1 500 élus appuient la proposition de loi du socialiste Guillaume Garot, qui revient en séance à l’Assemblée nationale le 6 mai. De nombreux édiles estiment que la concurrence pour attirer des praticiens est délétère.

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Lors d’une manifestation de médecins et d’internes pour protester contre la proposition de loi visant à résoudre le problème des déserts médicaux, à Paris,  le 29 avril 2025.

Voilà plusieurs années que les élus locaux s’en émeuvent : ils sont en première ligne face au désarroi de leurs concitoyens subissant des difficultés d’accès aux soins, mais se retrouvent largement impuissants sur cette compétence de la santé qui leur échappe. Nombre d’entre eux n’hésitent plus à en appeler à des mesures plus radicales : dans un texte publié dans La Tribune Dimanche du 4 mai, 1 500 ont apporté leur soutien à la proposition de loi du député socialiste de la Mayenne Guillaume Garot visant à lutter contre les déserts médicaux.

La proposition législative, dont l’examen va reprendre à l’Assemblée à compter du 6 mai, porte une mesure inflammable, honnie des médecins : la mise en place d’une régulation de l’installation des professionnels sur le territoire (une arrivée conditionnée à un départ en zone surdotée). « Elus de terrain, attachés à la promesse républicaine de la santé pour tous, nous appelons l’ensemble des députés à voter cette loi indispensable », exhortent-ils. « Il n’existe pas de “solution miracle”, à plus forte raison parce que notre démographie médicale continuera à se dégrader jusqu’en 2030. C’est la raison pour laquelle nous avons le devoir d’agir, avec tous les leviers à notre disposition », font-ils valoir.

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