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« L’héritage, amplificateur des inégalités ». A la mort de sa grand-mère, la descendante du fondateur des entreprises chimiques et pharmaceutiques allemandes BASF a hérité de près de 27 millions d’euros. Militant pour la taxation des plus riches, elle a reversé 92 % de cette somme à des associations.
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C’est un monde où l’angoisse des fins de mois n’existe pas. Où la liberté paraît infinie, puisque tout s’achète. Où l’on naît avec la certitude de l’abondance et du pouvoir – celui dont disposent aujourd’hui les grandes fortunes dynastiques du capitalisme occidental. « Les ultrariches se croient au centre de la société, mais, en réalité, ils sont à la marge », affirme Marlene Engelhorn, 33 ans. Ils disposent de leurs propres écoles et cliniques privées, vivent dans des quartiers ultrasécurisés, cultivent un entre-soi discret.
La jeune femme connaît bien cet univers des héritiers privilégiés : elle en fait partie. « J’ai été intronisée à la surrichesse à la naissance », résume-t-elle. Descendante de Friedrich Engelhorn, le fondateur des entreprises chimiques et pharmaceutiques allemandes BASF, elle est devenue multimillionnaire à la mort de sa grand-mère, Traudl Engelhorn-Vechiatto, en septembre 2022. « J’étais étudiante en littérature, je n’ai pas travaillé ni fait quoi que ce soit pour mériter cet argent », assure-t-elle. Avant d’ajouter : « L’héritage est une injustice. »
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