Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
Article réservé aux abonnés
Après avoir été deux fois reporté, le comité interministériel des villes (CIV) s’est finalement tenu vendredi 6 juin, à Montpellier, sous l’égide du chef du gouvernement, François Bayrou, entouré de huit ministres couvrant les domaines de l’aménagement du territoire et de la décentralisation, de la ville, du logement, de l’éducation nationale, de l’intérieur, de la santé, des comptes publics et du commerce. Un rendez-vous très attendu par les acteurs de la politique de la ville, au cours duquel l’Etat dévoile son action en faveur des 1 609 quartiers prioritaires (outre-mer compris) pour les années à venir. Une quarantaine de mesures axées sur trois « priorités » ont été présentées : la jeunesse, la tranquillité publique et le développement économique. Ce CIV 2025 intervient moins de deux ans après le précédent, qui avait eu lieu en octobre 2023 à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), et jugé alors « sans souffle » par nombre d’élus et d’associatifs.
Ils espéraient davantage de cette édition. Trois mois plus tôt, sept associations d’élus se rassemblaient à Epinay-sous-Sénart (Essonne) pour lancer l’« appel d’Epinay » et tenter d’inscrire ces territoires à l’agenda politique, rappelant l’urgence à agir pour endiguer l’appauvrissement de leurs quelque 6 millions d’habitants et la détérioration de leurs conditions de vie. La ministre déléguée chargée de la ville, Juliette Méadel, avait alors promis « une nouvelle impulsion ». « Sans l’appel d’Epinay, ce CIV n’aurait pas lieu. Aujourd’hui, il a le mérite d’exister, même si, dans le contexte actuel de contrainte budgétaire, c’est un CIV de crise, nous sommes lucides », commente Philippe Rio, maire communiste de Grigny (Essonne), qui espérait, « face à un climat de division et d’instrumentalisation des fractures françaises », une « parole très forte du premier ministre sur la fraternité républicaine et la réconciliation nationale ».
Il vous reste 75.79% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.