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Près de vingt ans après avoir délocalisé en Suède la production de poudre nécessaire à la propulsion d’obus, Eurenco vient de la rapatrier à Bergerac, en Dordogne. De quoi faire souffler un vent d’optimisme sur la sous-préfecture périgourdine après des décennies de repli industriel.
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Le parking du personnel n’est pas encore tout à fait plein, mais ce n’est qu’une question de mois, voire de semaines. Moribonde depuis la délocalisation de la production de poudre en Suède en 2007, l’usine bergeracoise du français Eurenco est en pleine renaissance. Le 25 mars, le ministre des armées, Sébastien Lecornu, et son homologue chargé de l’économie, Didier Lombard, y ont inauguré deux lignes de production de poudre utilisée pour propulser les obus de 155 millimètres des canons Caesar déployés, entre autres, sur le front ukrainien.
L’héritière de la Société nationale des poudres et explosifs a investi 150 millions d’euros pour ressusciter son outil de production et le moderniser. En neuf mois, 15 nouveaux bâtiments industriels sont sortis de terre sur 15 des 120 hectares de l’ancienne poudrerie, cette « ville dans la ville » construite pendant la première guerre mondiale pour répondre aux besoins de l’armée. En résonance avec les cadences du passé, l’usine tournera bientôt 24 heures sur 24, sept jours sur sept pour produire d’ici à l’été 1 200 tonnes de poudre avec six mois d’avance sur le calendrier initial.
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