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Chronique

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Laurence Girard

Depuis le début de l’année, l’or noir dévisse : il a perdu près de 17 % de sa valeur. Une tendance qui devrait durer jusqu’en 2026 au moins, selon les prévisions de la Banque mondiale, relève Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».

Publié hier à 09h03 Temps de Lecture 2 min.

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Un puit de pétrole à Close City, au Texas, le 9 avril 2025.

Le prix du baril oscille au fil de l’info. Ces derniers jours, il hésitait entre des anticipations contradictoires. D’un côté, les marchés spéculaient sur la décision de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (OPEP +), attendue samedi 3 mai, de continuer à desserrer le robinet de leur production en juin. Et qui dit flux de barils supplémentaires dit reflux des cours. De l’autre, les investisseurs buvaient les déclarations de Donald Trump, dont le robinet de la parole est constamment ouvert à haut débit.

Or, à la suite du report d’une réunion dans le cadre des négociations sur le nucléaire entre l’Iran et les Etats-Unis, le président américain n’a pas manqué de réagir sur son réseau Truth Social, jeudi 1er mai. Il a assuré vouloir « immédiatement » renforcer les sanctions touchant les acheteurs de pétrole iranien. Un coup de pression de nature, elle, à faire rebondir la cotation de l’or noir.

En début de séance, vendredi 2 mai, le prix du baril de brent de la mer du Nord, pour livraison en juillet, naviguait donc entre deux eaux et glissait légèrement aux alentours de 61,80 dollars. Son équivalent américain, le West Texas Intermediate (WTI), épousait la même trajectoire et passait sous la barre des 59 dollars, avant de fluctuer.

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