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Il y a des appels du pied qui ne trompent pas. Vendredi 28 mars, le président chinois, Xi Jinping, a accueilli au Palais du peuple, à Pékin, une quarantaine de grandes multinationales, dont les laboratoires pharmaceutiques Pfizer, Sanofi et AstraZeneca. Il a voulu rassurer leurs dirigeants : « Les portes de la Chine ne s’ouvriront que de plus en plus grand », ajoutant : « Dissipez vos doutes, renforcez votre confiance et venez ici pour vous développer et partager les opportunités de développement de la Chine. »
Le même jour, le quotidien officiel de langue anglaise China Daily a consacré un long article sur le récent voyage de vingt industriels et entrepreneurs allemands, invités par les autorités de l’Anhui, une province de l’est du pays, à visiter ses meilleures usines de constructeurs et équipementiers automobiles. L’article mentionne au passage ce sondage réalisé en décembre 2024 par la Chambre allemande de commerce en Chine révélant que 92 % de ses adhérents entendaient bien continuer d’investir dans l’empire du Milieu.
Ces dernières semaines, le rythme des réunions entre patrons étrangers et responsables chinois de haut rang s’est effectivement accéléré. Elles font suite à la rencontre très remarquée, en février, entre Xi Jinping et les principaux dirigeants de la tech chinoise. Jusqu’alors friand d’entreprises étatiques toutes-puissantes et frileux à l’égard du secteur privé, le président les exhortait à « montrer leur talent » et à avoir confiance en la force du marché chinois.
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