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Plusieurs laboratoires de premier plan, dont Roche, Novartis ou Johnson & Johnson, ont annoncé de gros investissements aux Etats-Unis.

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Des comprimés du laboratoire suisse Roche, devant le logo du groupe, à Zenica, en Bosnie-Herzégovine, le 22 janvier 2016.

Les dîners privés à Mar-a-Lago, à Palm Beach (Floride), et les huis clos à la Maison Blanche n’auront pas suffi à écarter la menace. Alors que l’imposition de droits de douane sur les produits pharmaceutiques importés aux Etats-Unis apparaît désormais inéluctable, les industriels du médicament tentent d’amortir le choc en cédant aux injonctions du président américain, Donald Trump, les sommant d’investir dans la production sur le sol américain afin d’y échapper.

Désireux, semble-t-il, de donner des gages à Washington et de se mettre à l’abri de la foudre, plusieurs laboratoires pharmaceutiques de premier plan ont ainsi desserré, avec une certaine largesse, les cordons de leurs bourses ces derniers mois. Mardi 22 avril, le suisse Roche, numéro deux mondial du secteur, avec près de 65 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2024, a annoncé un investissement de 50 milliards de dollars (43,9 milliards d’euros) outre-Atlantique au cours des cinq prochaines années. Le groupe helvétique, qui compte actuellement près de 26 % de ses effectifs aux Etats-Unis et une vingtaine de sites sur le territoire, affirme vouloir, de cette façon, renforcer son « engagement » dans le pays, où il réalise 48 % de ses ventes annuelles.

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