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Le crash d’un Boeing 787 Dreamliner d’Air India, à Ahmedabad (Gujarat), peu après son décollage, jeudi 12 juin, a fait au moins 265 morts. Cette tragédie intervient alors que le gouvernement de Narendra Modi déploie des efforts colossaux depuis des années pour devenir un géant du transport aérien.
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Quelques instants à peine après avoir décollé, à 13 h 39 heure locale, jeudi 12 juin, le vol Air India 171 lance un appel de détresse. Puis, plus rien, les sollicitations de la tour de contrôle restent sans réponse. Des images amateurs, ayant largement circulé sur les réseaux sociaux, montrent le Boeing 787 Dreamliner, le nez pointant vers le ciel, commencer à perdre de la hauteur avant de s’écraser et de disparaître dans une boule de feu.
L’impact s’est produit dans une zone résidentielle densément peuplée d’Ahmedabad, principale ville de l’Etat du Gujarat, dans l’ouest de l’Inde. Le premier ministre indien, Narendra Modi, lui-même originaire du Gujarat, est arrivé sur place vendredi matin. « La tragédie d’Ahmedabad nous a abasourdis », avait-il déclaré la veille sur son compte X.
Le vol AI 171 transportait 230 passagers et 12 membres d’équipage, il devait relier Ahmedabad à l’aéroport londonien de Gatwick, où son atterrissage était programmé pour 18 h 25. Parmi les personnes à bord, seul un passager a miraculeusement survécu au crash. L’homme, un citoyen britannique d’origine indienne, est actuellement soigné à l’hôpital, selon Air India. L’avion s’est écrasé sur un bâtiment qui servait de résidence à des étudiants en médecine et a également fait des victimes au sol.
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