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Première industrie touchée par les droits de douane après la production d’acier et l’aluminium, les constructeurs européens demandent à la Commission de négocier avec les Etats-Unis, tout en allégeant leur charge réglementaire. Aux Etats-Unis, les acteurs sont désorganisés.
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C’est le chaos dans le monde automobile. Ce secteur est le premier, après l’acier et l’aluminium, à subir l’entrée en vigueur des nouveaux droits de douane américains. Depuis le 3 avril, les importateurs doivent régler 25 % en plus des droits déjà en vigueur sur les véhicules venant d’autres continents. Les véhicules qui passent la frontière canadienne ou mexicaine supportent la même taxe, avec un bémol : ils peuvent déduire la valeur des pièces fabriquées aux Etats-Unis.
Une deuxième vague de droits doit s’appliquer à compter du 3 mai, sur les composants cette fois. Elle pourrait être là aussi de 25 %. Les pièces fabriquées au Canada et au Mexique y échapperaient à condition de respecter les règles du traité Aceum (le dernier traité de libre-échange entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique), mais seulement le temps que l’administration Trump mette au point un mécanisme pour faire la distinction entre la valeur ajoutée aux Etats-Unis et le reste, qui serait taxé.
Comment le monde automobile et les gouvernements européens peuvent-ils réagir à ces règles ? Pour y voir plus clair, Ursula von der Leyen a réuni lundi 7 avril après-midi, en visioconférence, les entreprises du groupe de « dialogue stratégique sur l’avenir de l’industrie automobile » qu’elle a créé en début d’année 2025. A l’issue de cette réunion, l’ACEA, qui réunit les constructeurs européens, a souhaité dans un communiqué que la Commission négocie autant que possible avec le gouvernement américain pour éviter les droits de douane. Et qu’elle « allège la charge réglementaire ». ONG, syndicats et représentants des consommateurs n’avaient pas été invités, contrairement aux précédentes réunions.
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