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L’opérateur du système de paiement mobile Wero prône la coopération entre acteurs européens du marché face aux poids lourds américains et chinois, après les dissonances récentes.
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Commerce, défense, investissement, marchés financiers… et paiements. Le discours sur la nécessité de renforcer la souveraineté européenne a trouvé une nouvelle déclinaison.
European Payments Initiative (EPI), le consortium de banques à l’origine du système de paiement par virement instantané Wero, lancé en 2024 en Allemagne, en Belgique et en France (où il se substitue progressivement au système français Paylib), a appelé, mardi 22 avril, « toutes les solutions de paiement numérique représentatives en Europe à unir leurs forces » afin de créer une solution « partagée par tous ».
Pour EPI, qui revendique plus de 40 millions de clients inscrits au service Wero, l’objectif doit être de favoriser l’interopérabilité entre des systèmes existants souvent incompatibles et concurrents, pour permettre aux Européens « d’effectuer des paiements transfrontaliers et d’obtenir une couverture complète européenne ».
L’intention est louable et répond à des vœux exprimés au plus haut niveau. Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), avait en effet souligné, le 2 avril, dans le podcast irlandais « The Pat Kenny Show », l’importance d’« avoir les paiements numériques sous notre contrôle », en regrettant que ceux-ci reposent pour l’instant « toujours sur des infrastructures non européennes », à savoir Visa, MasterCard, PayPal ou les « Xpay », appellation qui regroupe les systèmes des géants des services numériques, tels Apple, Google ou le chinois Alibaba.
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