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Le district de Jiading, au nord de Shanghaï, est jumelé avec Wolfsburg, en Allemagne, la ville de Volkswagen. C’est là qu’est installée l’usine qui produit les ID.3 et ID.4, modèles électriques de la marque allemande pour le marché chinois. Mardi 22 avril, la veille de l’ouverture du grand Salon de l’automobile de Shanghaï, elle est à l’arrêt. Officiellement pour maintenance, mais sans doute en chômage technique. A quelques kilomètres de là, les robots-taxis de Pony.ai, eux, sont tout sauf à l’arrêt. La société de taxis sans chauffeur, créée par deux développeurs chinois en 2016 à Fremont en Californie, n’arrête jamais. Ses voitures roulent sans cesse, accumulant des millions de kilomètres d’expérience et préparant un nouvel âge de la mobilité.
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Soucieuse de faire connaître sa technologie, la société a reçu un groupe de représentants français du secteur automobile, regroupés au sein du syndicat Mobilians. Une occasion de tester le robot-taxi. On monte à l’arrière, la ceinture doit être bouclée. Le robot-taxi est un SUV Lexus, équipé d’une tourelle truffée de radars et de caméras. C’est la cinquième génération développée par la start-up.
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