Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

« L’hyperpuissance automobile chinoise ». La start-up, créée en Californie par deux développeurs chinois, prépare une production en série de voitures qui se déplacent sans chauffeur. Ses dirigeants estiment qu’il y aura 85 000 robots-taxis en Chine fin 2029.

Article réservé aux abonnés

Un robot-taxi Pony.ai AION est présenté lors du 21ᵉ Salon international de l’automobile de Shanghai, le 23 avril 2025.

Le district de Jiading, au nord de Shanghaï, est jumelé avec Wolfsburg, en Allemagne, la ville de Volkswagen. C’est là qu’est installée l’usine qui produit les ID.3 et ID.4, modèles électriques de la marque allemande pour le marché chinois. Mardi 22 avril, la veille de l’ouverture du grand Salon de l’automobile de Shanghaï, elle est à l’arrêt. Officiellement pour maintenance, mais sans doute en chômage technique. A quelques kilomètres de là, les robots-taxis de Pony.ai, eux, sont tout sauf à l’arrêt. La société de taxis sans chauffeur, créée par deux développeurs chinois en 2016 à Fremont en Californie, n’arrête jamais. Ses voitures roulent sans cesse, accumulant des millions de kilomètres d’expérience et préparant un nouvel âge de la mobilité.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés A Wuhan, le taxi n’a plus de chauffeur

Soucieuse de faire connaître sa technologie, la société a reçu un groupe de représentants français du secteur automobile, regroupés au sein du syndicat Mobilians. Une occasion de tester le robot-taxi. On monte à l’arrière, la ceinture doit être bouclée. Le robot-taxi est un SUV Lexus, équipé d’une tourelle truffée de radars et de caméras. C’est la cinquième génération développée par la start-up.

Il vous reste 63.14% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.